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Dans le crépuscule, mon âme volait

Du Volkhov à l’Irtych,

Parmi les nuages glacés,

Loin des chaînes de l’angoisse

Et de l’agitation terrestres.

Et les étoiles, fleurs de cristal,

Tintaient dans le silence illuné.

Et, privé du quotidien et de …

Je me sentais solitaire...

Comme ma vie pèse peu,

Et comme la suite des jours se fond

Dans le scintillement des feux de bord.

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