Seul compte l’instant présent,
A quoi bon pleurer ce qui est perdu?
Nous ne cessons d’attendre, et il faudrait se hâter,
Car le Seigneur nous a mesuré le temps.
Elles sont grandes ouvertes dans les brumes de l’aube,
Les portes des demeures célestes.
Et nous, nous cherchons toujours Dieu
Dans l’agitation de ce bas monde.